ESPACE D'EXPRESSION PERSONNELLE
reconstitution objective de mon charisme lors de l'accident qui causa ma luxation de la rotule doublée d'une entorse
Les orchidées se déploient
comme le parfum d'un souvenir.
Le propriétaire de ces chiens m'a raconté qu'une fois les voisins avaient appelé la POLICE parce qu'ils pensaient que c'était des loups. C'est vrai qu'on aurait dit 2 loups noirs aux yeux oranges. Ils bougeaient en silence c'était très intimidant. On aurait dit des ombres.
CA VOUS ARRIVE DE VOUS POSER DES QUESTIONS EXISTENTIELLES????????
Personne n'ose regarder l'infini dans les yeux. Ils sont fous ces astronautes
J'aimerais donner mon opinion sur l'usage exclusif du numérique dans la création d'art. Je suis pour ma part depuis peu très adepte de la création numérique, bien que je pratique d'autres manières de créer.
Une critique que l'on pourrait donner à cette pratique, c'est qu'elle "mécanise", en quelque sorte, le geste de l'Artiste, qui ne devient qu'un.e automate répétant certaines commandes sans y prêter attention. Au contraire si l'on suit cette critique, un.e Artiste d'une époque antérieure aurait été en plus ample contact avec son art, le.a laissant pleinement s'inspirer du processus de création tangible.
De plus on peut prendre en compte l'effort physique qu'un travail artistique tangible* peut susciter. Un effort physique engendre obligatoirement une ou des douleurs sublimables. Ces douleurs participent à sa création, en outre qu'elles témoignent de la forte détermination de l'Artiste. Je suis d'accord avec ces remarques, je les ai sorties de ma tête.
Par opposition, un travail numérique ne nécessite rien, sauf un ordinateur allumé et, au besoin, un logiciel. Je n'ai pas vraiment la sensation de travailler, quand je fais de la création numérique, et peut être est-ce pour cela qu'elle me plaît tant. J'aime cette sensation qu'il n'y ai presque rien entre les idées qui passent dans mon cerveau, et l'œuvre dans sa finalité. Aucun geste qui pourrait l'altérer.
Selon moi, d'aucuns aiment être créatif car cela les fait se sentir comme des dieux.déeses créant un univers à l'aide de leurs moyens. Des dieux.déesses avec des imaginations d'enfants. L'ordinateur me fait me sentir comme une déesse contemporaine télépathe, qui matérialiserait ses idées sans limite. Je ne crois pas que cette sensation me déplaise, ou puisse nuire à l'Art.
Il me semble néanmoins juste de continuer une pratique artistique tangible, pour garder tous les bienfaits de cette manière de créer, ainsi que pour conserver sa préciosité dans l'Histoire.
Merci de m'avoir lu, j'espère que mon opinion fera écho avec la votre.
*non-numérique
Une part de mon avis sur la création numérique
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MES PREMIERES PHOTOS LE CADEAU DE MES 20 ANS (MON FUJIFILM X-T30)
Le plastique fût d'abord perçu comme une invention éclairée de magie,
une nouvelle source d'aventure technique, une prouesse de l'intelligence humaine,
transformant de la boue en un matériau dont les limites parraissaient extensibles.
Une forme de détachement utopiste de la nature. Une allégorie du plaisir de consommer.
Nous achetons du plastique, nous l'utilisons, nous le jetons, nous le mangeons, nous le respirons. Il enveloppe notre quotidien.
On ne s'étonne plus de voir un sac en plastique se promener dans la rue ou nager dans la mer.
On ne remarque plus sa sensualité quand on l'arrache.
On l'aime pour sa douceur, son dévouement, et son extravagance, sans même sans rendre compte.
Le plastique est une caresse consommable et consommée.
